Dans son éditorial de la Presse d'aujourd'hui André Pratte revient sur les déclarations de Pauline Marois et sur le texte lumineux de Gérald Larose paru dans l'Action Nationale de décembre.
À toutes les questions qu'il pose, je réponds un gros OUI !
Il serait encore plus gros si les polices offertes par ce générateur de texte me le permettait.
Oui "Ces mots révèlent une nouvelle stratégie."
Oui "Multiplier les « gestes de souveraineté », c’est d’une part adopter la tactique du picador : harceler Ottawa de revendications et de provocations dans l’espoir que le fédéral se braque, d’où crise, humiliation, référendum."
Oui "Les « gestes de souveraineté », c’est d’autre part la voie homéopathique vers la rupture. C’est amener les Québécois, à doses infinitésimales, à quitter l’univers mental canadien pour celui d’un pays indépendant. Une fois que le Québec aura sa constitution, sa citoyenneté, etc., le fossé à franchir pour atteindre la souveraineté complète paraîtra moins effrayant. C’est de l’étapisme furtif."
Oui "Alimenter, enraciner l’indépendance : voilà à quoi se consacrerait en priorité, selon Gérald Larose, un prochain gouvernement du Parti québécois. Est-ce aussi le plan de Mme Marois ?"
Oui à la souveraineté de velour !
samedi 19 janvier 2008
André Pratte a tout compris !
Publié par Pierre Bluteau à 21:53
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