«J'ai toujours été un ami du Canada. Parce que le Canada a toujours été un allié de la France. Et Franchement, s'il y a quelqu'un qui vient me dire que le monde a aujourd'hui besoin d'une division supplémentaire, c'est qu'on n'a pas la même lecture du monde». Ainsi s'exprimait le Président français Nicolas Sarkozy cet après-midi à Québec. Non mais, de quoi je me mêle ? Un bon nombre d'États se sont créés depuis 10 ans et ils ont tous reçus l'aval de la France, des pays du G8 et de la communauté internationale mais à partir d'aujourd'hui, fini les folies, plus de division Nicolas l'a décrété. Les alliés du Québec en France ne se situent pas du côté de la business et des amis de Paul Desmarais; les alliés du Québec se trouvent à gauche. Heureusement, les jours de Nicolas Sarkozy sont comptés outre atlantique. Avec l'élection de Barack Obama le 4 novembre au États-Unis, un vent de changement soufflera sur le Monde un peu comme celui qui a soufflé au début des années '60 avec l'élection de Kennedy. Ce vent emportera les petites personnes comme Nicolas Sarkozi et congénères.
vendredi 17 octobre 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Disons, à tout le moins, qu'il a eu des discussions avec certaines personnes qui ont manifestement des arguments que nous n'avons pas.
Ceci dit, peu importe ce qu'il dit, si le Québec décide d'être souverain, l'opinion de Nicolas Sarkozi compte autant que celle d'un russe, d'un albertain ou d'un chinois: ils n'ont pas leur mot à dire sur la manière dont nous décidons de vivre et de gérer notre argent.
Enregistrer un commentaire