Paul Desmarais, franco-ontarien qui a fait fortune au Québec, est fédéraliste c'est connu. Son empire médiadique ne cesse de nous mettre des bâtons dans les roues; c'est de bonne guerre. Car il ne faut jamais oublier que nous sommes en guerre de sécession. Nous n'avons pas d'amis chez les Canadian et chez les Québécois fédéralistes vendus. Ceux-ci n'auront de cesse que quand nous rentrerons dans nos terres la queue entre les deux jambes et prendrons notre trou pour redevenir de simples porteurs d'eau. Le millionnaire Desmarais, en entrevue au magazine le Point de France a déclaré que "si le Québec devient souverain, ce sera sa fin". J'ose croire qu'il veut dire que ce sera sa fin à lui et à son empire.
Bernard Landry, dans La Presse, un des quotidien de Desmarais demande des explications à son ami Paul. Je doute qu'il réponde ou s'excuse car il croit vraiment que nous ne pourrons jamais nous débrouiller sans l'aide du grand frère fédéral et des Anglais. Paul souffre du complexe du petit canadien-français des années soixante. Le Québec a évolué monsieur Desmarais. Aujourd'hui, le Québec serait la quinzième puissance économique mondiale s'il devenait un pays. Il y aurait donc 177 pays représentés aux Nations-Unis qui serait moins économiquement forts que le Québec et qui pourtant ne regrettent absolument pas leur indépendance et voudraient revenir en arrière. Mais pour le Québec, CE SERAIT LA FIN DU MONDE S'IL FALLAIT QUE L'INDÉPENDANCE SE FASSE selon Paul Desmarais et ses hommes de main: André Pratte, Alain Dubuc et compagnie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire